Par Jean-Pierre Charland, HMH, Les Portes de Québec 2
«Dans le Québec de la Belle Époque, en 1907, la population fait l’expérience d’une prospérité nouvelle et l’avenir paraît radieux malgré l’effondrement du pont de Québec. Toutes les attentions se portent sur les grandes fêtes prévues pour le tricentenaire de 1908, un événement en compétition avec l’Église, qui de son côté entend célébrer avec faste le bicentenaire de la mort de Monseigneur de Laval.
Les deux familles Picard poursuivent leur quête de bonheur. Alfred s’exerce au délicat métier de père tandis que sa femme Marie souffre d’avoir un époux qui préfère des bras masculins aux siens. Quant à Thomas, les félicités de ses secondes épousailles résistent à l’usure du temps. Élisabeth assume ses rôles d’épouse et de belle-mère à la perfection. Édouard, lui, montre de belles dispositions à reprendre plus tard la gouverne du magasin Picard. Tout serait parfait si sa soeur Eugénie cessait de faire une vie impossible à ses parents… tout particulièrement sa belle-mère, qu’elle tient toujours pour responsable de la mort de sa mère.»
On retrouve avec bonheur les deux familles Picard du premier tome, mais quel blabla historique assomant!... Les recherches semblent rigoureuses, mais un bon tiers du roman ressemble plutôt à un essai historique; l'intérêt fléchit donc par moment. Toutefois, il s'agit d'une saga accrocheuse!
Lili lui donne: ★ ★ ★ ☆ ☆
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire