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vendredi 12 septembre 2008

Noël chez Ernest et Célestine

Par Gabrielle Vincent, Casterman, Les petits Duculot, Ernest et Célestine

«Ernest et Célestine sont-ils vraiment trop pauvres pour inviter leurs amis à un bon réveillon de Noël? Peu importe, puisque tous deux, heureusement, ont plein d’idées pour organiser un réveillon exceptionnel que tous vivront comme un moment inoubliable. Une belle histoire d’amitié sous la neige, pour fêter et prolonger Noël.»

...un délice magique et scintillant... illustrations toujours aussi ravissantes...

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Un caprice de Célestine

Par Gabrielle Vincent, Casterman, Les albums Duculot, Ernest et Célestine

«Célestine veut se déguiser. Mais le jeu ne convient guère à Ernest, qui se sent gêné, même si la scène se déroule dans le jardin, à l'abri des regards indiscrets. Pas si à l'abri que cela. Un voisin croit reconnaître en Ernest la tante de Célestine ! Ernest, de plus en plus gêné et et réticent, et Célestine aussi en fin de compte, rentrent à la maison. A l'intérieur, le jeu continue, car tout à coup, Célestine trouve qu'Ernest, avec ce bonnet sur la tête, ressemble à quelqu'un. Mais le jeu devient vraiment trop effrayant lorsque le loup Ernest tente d'attraper Chaperon rouge. Malicieuse, Célestine propose de fabriquer plutôt deux marionettes…»

À trop vouloir faire dans l'éducatif, Gabrielle Vincent perd de cette magie qui a fait le charme d'Ernest et Célestine à leurs débuts. Seules réjouissances: les illustrations inoubliables...


Lili lui donne: ★ ★ ☆ ☆ ☆

Les questions de Célestine

Par Gabrielle Vincent, Casterman, Les petits Duculot, Ernest et Célestine

«Célestine est devenue bien silencieuse tout à coup. Elle voudrait savoir quelque chose qu'elle ne parvient pas à formuler. Devant l'insistance d'Ernest, elle finit par avouer qu'elle voudrait savoir d'où elle vient, où Ernest l'a trouvée.»

Quitte à me répéter: illustrations sublimes. J'adore l'univers visuel de Gabrielle Vincent, sa sensibilité et sa tendresse. Histoire intéressante au sujet de l'adoption et de la perception que peuvent en avoir les enfants adoptés. Quelle fin déroutante toutefois!... Je ne suis pas du tout certaine qu'un enfant apprécie de s'associer à une petite souris abandonnée dans une poubelle! Mais bon, comme métaphore de l'abandon, y'a pas plus clair...


Lili lui donne: ★ ★ ★ ★ ☆